Le départ était prévu pour le dimanche 17 août, mais il restait encore tellement de choses à charger et ranger + la voiture aller mettre en sécurité dans un garage à Paris, nous avons donc retardé encore d’une petite journée… ça ne nous a pas empêché de prendre le dernier apéro avec voisins et amis, et de sortir à l’eau l’annexe gonflable pour ceux qui voulaient faire un tour…Et on remercie encore Carole et Bertrand pour toutes les bonnes petites surprises, la bouteille de Champagne, la banderole déployée…








Lundi 18 août. Enfin le grand départ ! Ceux qui avaient la chance de ne pas travailler sont revenus, et comme les adieux sont toujours un peu difficiles, tout le monde a embarqué pour la première étape…Nous sommes donc partis à 11 personnes, pour quelques kilomètres sur la Seine, et c’est à Corbeil Essonnes que nous avons fait notre première escale pour raccompagner Tonton Alain et la petite Léa, ainsi qu’Arnaud, Shana et Malcolm à la gare RER.




Alex et Marlène ont donc passé à bord du Yakayalé leur diplôme de mousse en passant les écluses. Et ils en éclusent… (pas des écluses… des mousses !!!)



Nous avons donc fait quelques escales sympathiques sur la Seine : Melun, Samois sur Seine (coucou Pierre et Cathy) St Mammes, et également sur le Canal du Loing, en pleine nature où nous avons pu tester notre autonomie en énergie… pas d’électricité et les enfants ont quand même pu garder leurs habitudes (télé, ordinateur…) Le câblage de Richard a l’air parfait !
(Nous avons juste du démonter l’éolienne à cause de la hauteur des ponts sur les canaux).






Nous avons déposé Alex et Marlène à proximité de Nemours, enchantés de leur balade. Durant ces 5 jours ils ont mêm perdu leur couleur « galak » (Alex a même revêtu son costume d’écrevisse) Nous entamons maintenant le célèbre canal de Briare à 3 pour les manœuvres (car Hugo l’asticot n’est pas assez costaud pour nous aider…).








Bilan positif de cette première semaine : nous apprécions bien notre toute nouvelle liberté…la nature paisible à peine troublée par un vol de hérons… les deux vélos embarqués nous rendent bien service. Quelques petites émotions dans les écluses : notamment dans la dernière de la Seine, à quai inclinés où nous avons failli nous mettre en travers, et une autre automatique sur le Loing où l’éclusier a lancé la fermeture de la porte avant que nous ne soyons complètement sortis… Ah oui, et aussi un réveil un peu mouvementé lorsque l’amarrage sur les piquets que nous avions plantés d’est détaché au passage de la première péniche… Et aussi les écluses sans échelle pour grimper... Mais nous en verrons sans doute beaucoup d’autres !!!